L’Odyssée De La Belle Hélène – Tantale Et Le Supplice Des Désirs -

L’Odyssée de la Belle Hélène – Tantale et le supplice des désirs -

Tantale était roi de Lydie. On prétendait aussi qu’il était aussi fils de Zeus. De par cette origine divine, il bénéficiait de multiples faveurs. Ami des dieux, ceux-ci l’invitaient même parfois à partager leur repas. Tantale aurait donc pu vivre dans une éternelle félicité. Hélas, cette situation privilégiée le gonfla d’orgueil jusqu’à lui faire perdre la tête. Et fatalement Tantale trompa les dieux. À plusieurs reprises, il révéla aux humains les propos que tenaient les Divinités sur l’Olympe. Et un jour, il alla jusqu’à dérober un peu d’ambroisie, la nourriture céleste, pour la faire goûter à ses amis. Cette fois, ç’en était trop. Zeus ruina le royaume de Tantale et voulut le de sa propre main. Mais Tantale, ayant mangé de la nourriture divine, était devenu inévitablement Immortel. Alors Zeus le condamna à un immortel supplice pour l’Eternité. Aujourd’hui, comme hier et comme demain, Tantale est condamné à rester plongé dans un marécage d’où il ne pourra jamais sortir ayant les pieds embourbés dans des sables mouvants.

Il a soif. Mais dès qu’il se penche pour boire, l’eau se retire. S’il parvient à en mettre quelques gouttes dans sa main, elles disparaissent avant d’atteindre sa bouche, et Tantale a plus soif que jamais. À portée de son bras, il y a un arbre magnifique produisant différents fruits. Cet arbre improbable est chargé de poires, de pommes, de figues sucrées et de grenades bien mûres. Tantale a faim, une faim dévorante, aussi grande que sa soif. Mais dès qu’il tend la main, un coup de vent pousse les branches hors de sa portée. Mais le pire de ces désirs est celui-ci : Tantale ne peux pas satisfaire ses extraordinaires et inévitables érections provoquées par la magie divine de Zeus. Ce dernier l’a donc aussi condamné à toujours être en rut mais sans jamais pouvoir se soulager. Dès que Tantale approche sa main pour masturber son sexe toujours dressé, une douleur insupportable dans son bras et à son poignet l’empêche de se soulager manuellement… Voilà le châtiment que Zeus a imaginé pour celui qui a trompé sa confiance… C’est dans ce contexte que l’épisode de la Belle Hélène qui va suivre se passera …

Cela faisait déjà un long moment que la Belle Hélène survolait cette partie de la Grèce, toujours avec son ami Pégase, bien installée sur le dos de ce dernier, lequel volait à grands coups d’ailes.

Quand tout d’un coup, Pégase se sentit mal car soudainement des bourdonnements stridents et insupportables lui parvinrent dans les oreilles. Cette situation le secoua de spasmes douloureux et le contraint à atterrir le plus rapidement possible. Apercevant à perte de vue uniquement des zones marécageuses, il n’eut pas d’autre choix que de se poser, au plus près, sur un petit terre-plein ombragé bordant un vaste marécage. Hélène secouée par les soubresauts de Pégase se demandait bien ce qu’il se passait. Elle n’eut l’explication qu’une fois atterrie, quand Pégase put lui exposer la raison de cette étape e. Il put aussi lui l’expliquer car subitement, et seulement une fois atterri, les bourdonnements stridents cessèrent aussi vite qu’ils étaient venus. Il comprit alors que ces acouphènes insupportables avaient été provoqués par une divinité afin de le forcer à mettre pied à terre…

Pégase proposa à la belle Hélène de repartir sans tarder, tout de même, afin de continuer leur périple. Mais la Troyenne entendit gémir via des plaintes suppliantes venant du marais le plus proche, derrière un bel et gros arbre fruitier des plus garnis et lui cachant celui qui émettait ces gémissements… Une fois contourné le volumineux arbre, quelle ne fut pas sa surprise d’apercevoir un homme entièrement nu, d’apparence assez âgée, à la barbe avancée, aux cheveux ébouriffés… Il était embourbé au fond du marécage et apparemment ne pouvait plus en sortir. L’eau lui arrivait jusqu’aux cuisses. Ce que remarqua d’emblée la Troyenne, était la forte érection d’une extrême vigueur et que l’homme exhibait avec indécence… Sa verge était saillante, très veinée et d’un volume énorme, droite à la verticale comme un ‘I’. Cette virile érection ne laissa pas la Belle indifférente, ses instincts de femelle en chaleurs s’éveillaient dans une rapidité foudroyante. … L’homme levait les bras tel un supplicié tout en fixant Hélène d’un regard exprimant qu’il avait besoin d’aide… La belle Hélène surprise de la situation, l’interrogea :

- Qui es-tu ?… Je vois que tu exhibes ta puissante virilité sans aucune gêne … dit-elle avec déjà une certaine envie dissimulée de femelle gourmande … Sache que je suis Hélène de Troie…
- Hélène de Troie… ? La fameuse Hélène de Troie ! … Je… Je suis Tantale … Zeus m’a condamné à un supplice pour l’Eternité. Je suis plongé dans ce marécage d’où je ne pourrais jamais sortir ayant mes pieds embourbés dans le sable mouvant tout au fond de ce marécage... Je t’en supplie, sort-moi de là, j’ai soif… j’ai faim … Et Zeus m’a condamné aussi à toujours être en rut mais sans jamais pouvoir me soulager, et c’est pour cela que ma virilité érectile s’exprime dans tout sa splendeur … J’ai besoin aussi de me vider les bourses… Je n’en peux plus … Je n’en peux plus … !
- Te donner à boire et à manger et te soulager ? En voilà des requêtes ! … Et que me donneras-tu en échange ?
- En échange ? … Sort-moi de ce bourbier et je te ferai goûter de l’ambroisie qui te donnera le pouvoir de communiquer directement avec les dieux … Mais aussi et surtout, elle te donnera l’Immortalité… L’ambroisie a aussi ce pouvoir pour celui qui la consomme …
- L’Immortalité ? Humm mais voilà qui est très intéressant ! … Et communiquer directement avec Apollon, mon divin époux ! … J’avoue que je suis très tentée de ces deux opportunités … Alors soit !… Tient, pour commencer … Boit de cette eau, lui dit Hélène en lui tendant son outre d’eau fraiche…

Tantale vida d’une traite l’outre, pourtant pleine afin d’étancher sa soif. Puis, il put enfin se sustenter d’innombrables fruits une fois que Hélène lui tendit les lourdes branches fournies de fruits nourrissants… Il eut à peine fini le dernier fruit à sa portée de main que la Belle Hélène, excitée du spectacle obscène de cette verge exhibée et gorgée de sang, lui lança sans pudeur et très directement :

- Et maintenant, lève et écarte largement tes robustes bras, afin que tu me réceptionnes dans ceux-ci. Et que je puisse m’enlacer autour de ta taille par mes propres bras autour de ton cou… Et ainsi m’empaler sur ta magnifique verge dressée !... Je veux prendre du plaisir à me faire embrocher …

Plus qu’en manque de sexe, Tantale ne se fit pas prier tellement il ressentait ce besoin si intense de copuler comme une bête. Et ce sont les bras tendus et écartés, qu’il enlaça la Troyenne quand cette dernière vint l’attr par le cou, tout en ouvrant largement ses cuisses afin de croiser ses chevilles dans le dos de Tantale toujours debout et embourbé. Ainsi elle se trouva en position parfaite pour s’empaler sur ce phallus qui lui faisait tant envie. La pénétration fut rapide et sans effort tant Hélène mouillait. La grosse verge glissa d’un seul coup jusqu’à la garde, pénétrant très profondément le sexe trempé de la Belle tellement excitée par la perspective de se faire prendre en cette position. Position lui permettant de recevoir pleinement cette grosse queue qui s’offrait à elle, celle d’un mâle en rut, et la recevoir le plus profondément possible... Alors une danse lascive commença et ce fut la Belle Hélène qui maîtrisait cette copulation des plus insolites ! Tantale embourbé dans le marécage en train de saillir la Troyenne, laquelle Hélène cuisses écartées enlacées autour de la taille de Tantale canalisant parfaitement le rythme et la cadence en chevauchant ce phallus d’une grosseur impressionnante. Et visiblement, la Belle Hélène prenait véritablement son pied ! Tout le haut de son corps bouillant de désirs descendait et montait selon ses envies… Elle était remplie comme rarement elle avait été pénétrée, à chevaucher cet épais membre viril qui l’a fourrait. En effet, ce gros phallus lui bourrait la chatte et encombrait abondamment toutes ses parois vaginales tout en la labourant énergiquement. Elle sentait le gros gland violacé taper tout au fond de son vagin à chaque poussée des reins de Tantale. Cette grosse bite coulissait donc si profondément et bestialement que Hélène en activait la cadence, telle une chienne en chaleurs !...

La Troyenne jouissait désormais sous les jeux amusés de Pégase resté sur la rive et qui se délectait du spectacle ! Hélène criait, hurlait ses orgasmes, à n’en plus finir, à tue-tête ! Ces forts cris jouissifs devaient s’entendre loin dans la zone marécageuse et ceux-ci s’enchaînaient encore et encore autant que les orgasmes à répétition... La magie divine de la torride copulation permettait à la Belle de grimper au septième ciel via de multiples jouissances longtemps encore et encore sans aucune interruption… Et tout simplement parce que Tantale resté en une grande et longue abstinence, provoquée par Zeus, avait éjaculé déjà depuis longtemps quasi tout de suite en une éjaculation précoce. Mais Zeus avait tout prévu ! Afin de le punir à ne pas pouvoir se soulager, à se vider les couilles, plus Tantale éjaculait, plus il ne ressentait aucun plaisir orgasmique ! Et en plus, il éjaculait sans fin, dans un flux continu ! En effet des flots de sperme s’écoulaient sans jamais s’arrêter tel un ruissellement continu ! Et la punition de Zeus ne lui permis pas de débander ! Bien au contraire, lâchant son sperme sans discontinuité, il bandait de plus belle ! Cela devenait une réelle pour Tantale ! contraire à la nature même de toute copulation ! Sa verge était toujours ultra-raide, dressée, droite grosse, une érection de taureau ! Mais sans aucuns plaisirs ! Et donc ses éjaculations ne lui procuraient donc aucun soulagement sexuel. Il ne pouvait rien contrôler et surtout pas stopper les flots de sperme chaud qui emplissaient la chatte trempée de la Belle Hélène ! Seule la sensation d’un manque inassouvi de sexe le tiraillait de plus en plus alors qu’il était paradoxalement en plein ébat sexuel et torride. Le sperme coulait donc à flot débordant avec abondance du sexe de la Belle, dégoulinant sur ses cuisses. On aurait cru une fontaine, une cascade ininterrompue se déversant et allant se perdre dans l’eau du marécage…

Quand Hélène avait pris abondamment son pied après avoir démultiplier ses puissants orgasmes étant toujours empalée sur ce gros sexe qui ne faiblissait pas, elle décida de s’extraire de l’étreinte de Tantale. Et comme par magie divine, du moment où Hélène s’extirpa de la verge de Tantale, ce dernier s’arrêta instantanément d’éjaculer mais toujours sans débander ! … Attrapant une branche de l’arbre fruitier pour s’aider à se dégager, elle gagna la rive, souffla, reprit ses esprits. Observant attentivement Tantale et son phallus toujours aussi dressé. Alors, elle lui dit, interrogative :…

- Mais comment se fait-il que tu bandes toujours ainsi ? Alors que j’ai senti couler ta semence en abondance ?
- Ho, il est aisé de comprendre que la punition de Zeus ne me permet pas de me soulager. En effet, j’ai bu et j’ai toujours aussi soif, j’ai mangé et j’ai toujours aussi faim, j’ai copulé et j’ai toujours aussi envie de me soulager ! …C’est une punition cruelle …
- Et qu’as-tu fais pour mériter le châtiment du Grand Zeus Lui-même ?
- J’ai dérobé un peu d’ambroisie, la nourriture céleste ! Et Zeus est entré dans une colère bleue et m’a puni ainsi pour l’Eternité…
- De l’ambroisie ? Alors non, je ne veux pas y goûter, contrairement à ce que nous avons convenu. Car je ne veux surtout pas m’attirer la colère de Zeus… Et tant pis pour l’Immortalité ….

Tantale avait beau supplier qu’on le sorte du marécage que la Belle Hélène et Pégase furent contraint de le laisser embourbé dans le marécage, craignant, plus que tout, la colère divine du dieu des dieux, Zeus… Et c’est à grands coups d’ailes qu’ils quittèrent les lieux alors que Tantale hurlait son désespoir face à son supplice des désirs…

(A suivre …)